Je suis psychanalyste en cabinet libéral dans l'Est de la France.
Très souple dans ma pratique, je ne veux pas être un obstacle pour quelqu'un qui, parce que dans une souffrance, désire entreprendre une psychanalyse et/ou une psychothérapie de type analytique. Dans ce sens aucun obstacle financier ou de disponibilité doit intervenir.
Par exemple, je peux proposer 2 ou 3 séances concentrées dans une demi-journée si c'est nécessaire et permettrent ainsi à toute personne le désisant venir de loin (avec le TGV, les déplacements sur l'Alsace sont faciles).
Les séances proposées donnent du temps au temps : il me paraît impossible de verbaliser ses difficultés dans toute leur latitude si des séances sont trop courtes. Je propose des séances d'une heure.
Psychanalyste orienté Sándor Ferenczi (séance d'une heure, interventions fréquentes, une mutualité co-analytique, une extrême attention à la souffrance [ce que Ferenczi ne supportait pas là où Freud manifestait un certain stoïcisme)], je n'ai rien à voir avec le psychanalyste " muet " qui vend son silence à prix d'or.
Auteur de 3 livres importants dont 2 sur l'angoisse et 1 sur la présentation de la psychanalyse, je vous invite sur mon site internet (www.psy-psychanalyste.com) si vous voulez mieux me connaître, découvrir mes livres, me lire.
Ma formation ? voir mon profil. Je suis psychanalyste et j'aide avec énergie les personnes en mal de vivre (et peut être assorti de symptômes très invalidants) et/ou ceux qui sont dans des passages difficiles.
J'ai donc publié à ce jour 3 livres de référence à la fois accessibles et exhaustifs, soit :
Freud et son héritage [2010]
Freud et la question de l'angoisse[2008]
Les ombres de l'angoisse[2005]) Voir mon site ou le site de l'éditeur ou encore google books pour le descriptif des mes ouvrages.
Ma formation universitaire en biologie (écologie à l’Enesad de Dijon) et dans des domaines connexes de la connaissance du comportement (psychophysiologie et primatologie à l’Université de Strasbourg, éthologie humaine à l’Université Laval de Québec) influence ma pratique dans le sens d'une propension à l'efficacité des interventions et une prise en compte importante de ce qui est vécu, séance après séance. Je ne suis pas du genre à prétendre à la préscience mais je compte totalement sur les dires du patient, son élaboration du travail et beaucoup de bienveillance, de patience et d'aide, y compris pour des situations concrètes.
Le langage, bien que fondamental et outil primordial de l'analyse, est aussi relativisé et modulé par le "ressenti". Les rémémorations et les revécus sont fondamentaux.
Travailler les noeuds psychiques en séance doivent aboutir à des résultats concrets dans la vie. Nous sommes loin d'une conception abstraite de la psychanalyse : il n'est pas question ici de viser à une connaissance de soi, stérile si aucun changement s'ensuit, mais bien d'un traitement.
Ma formation analytique a consisté, conformémemt à la tradition, à m'allonger sur plusieurs divans pendant longtemps (plus de 10 ans). Et je considère que je dois bouger psychiquement à chaque analyse.
D'avoir écrit trois livres d'importance (dont certains universitaires s'en servent ; par exemple le Prof. Jean Bergeret les avaient dans son cours à Lyon, étude en séminaire au "Service de Santé Mentale UCL-BXL" à Bruxelles, etc.) m'a obligé à approfondir ma connaissance du psychisme.
Je n'ai rien à voir avec l'image du psychanalyste figé, raide, sentencieux et silencieux. Je suis moi-même en séance, laquelle doit s'ancrer dans la vie.