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CHERIF Abdoul Aziz

Consultant, formateur, Sales & Marketing

formation, conseil, web
vente, marketing, communication
digital marketing
marketing numérique
Techniques de vente
marketing, vente, distribution
ouvert, organiser
53 ans
Permis de conduire
Conakry Guinée
Consultant Ouvert aux opportunités
Bonjour,
je suis un cadre Marketing polyvalent, qui fusionne pratique et théorie.

Je capitalise plus de dix-huit (18) années d'expérience dans le monde du commercial et du marketing, principalement dans des multinationales en République de Guinée.

Je suis actuellement Manager Associé du Cabinet CHAM'S Consulting.

Au Cabinet CHAM'S Consulting, je suis consultant en réorganisation commerciale et marketing (recrutement, formation, rédaction de plan marketing, ...), et animateur principal/editor-in-chief du site http://www.afriquemarketing.com/

Je suis également chargé de cours dans plusieurs institutions d'enseignement supérieur (niveaux Bachelor, Licence, Master, et spécialisations, ...)

Dynamique, rigoureux et ouvert, je m'adapte facilement à tout environnement.

Je suis enfin, "IFC-LPI TPMA" Certified Trainer 2019, et mentor de nombreux entrepreneurs.

www.afriquemarketing.com / consultant@afriquemarketing.com
cher_aziz@outlook.fr
+224623887275
+224662965098
CV réalisé sur DoYouBuzz
MARKETING EN AFRIQUE afrikmarketing.blogspot.com
AFRIQUE MARKETING : L'AVENTURE SE POURSUIT
30 sept. 2014
Afrique Marketing, l'aventure continue sur : http://www.afriquemarketing.com/, bonne lecture !
AFRIK MARKETING : 28 517 PAGES VUES !
17 oct. 2012
Historique global des pages vues 28 517.
Nombre de pages vues en moyenne par mois : 1 000
Source : google stats
Vous pouvez également nous lire à l'adresse : http://afrikmarketing.afrikcity.com/
MARKETING EN AFRIQUE, UN BLOG QUI MARCHE !
17 août 2012

MARKETING EN AFRIQUE, UN BLOG QUI MARCHE !

http://afrikmarketing.blogspot.com/

Nombre de pages vues en moyenne par mois 1 000

Nombre total de pages vues : 26 622

Entrée                  Pages vues

France                   9400

Sénégal                 1723

Maroc                   1713

États-Unis             1105

Côte d’Ivoire        1098

Pays-Bas              1030

Cameroun             700

Algérie                  521

Allemagne            515

Tunisie                 466

....

Et bien d'autres encore ... !

Le Blog qui vous dit tout sur le marketing, et sa pratique en Afrique, SIMPLEMENT.
REDIGEZ VOUS MEME VOTRE PLAN MARKETING
17 août 2012

Le plan marketing est un document écrit ayant pour but d’organiser les ressources (humaines, productives, commerciales, etc.) en vue d’atteindre les objectifs de l’entreprise de la manière la plus efficace possible.

Il est souvent préparé sur la base d’une année (pour convenir à l’année fiscale), mais il peut être adapté (durée plus longue ou plus courte) aux besoins spécifiques (développement de nouveau produit, cycle de vie, saisonnalité, etc.).

Il doit être perçu comme « draft » à changer à travers le temps, à actualiser et à utiliser comme base pour la prise de décision. La préparation et la mise en œuvre des actions contenues dans le plan nécessitent un effort de coordination et d’interaction.

Son utilité réside dans le fait qu’il permet de :

- préciser les objectifs. Le développement du plan marketing nécessite la fixation d’objectifs compréhensifs pour vos efforts marketing. De plus, le plan nécessite l’identification des facteurs liés à l’atteinte de cet objectif global et des buts à atteindre pour chaque facteur.

- développer des stratégies solides. Le développement des stratégies nécessite une analyse approfondie de la situation compétitive et de l’environnement du marché. Elle nécessite la considération de stratégies alternatives pour atteindre les objectifs et les buts.

- faire le suivi des performances. Le plan doit comporter des moyens de mesure de la performance de la stratégie telle qu’elle est mise en œuvre et doit établir un mécanisme de suivi.

Le processus de l’élaboration du plan marketing comporte les étapes suivantes :

1- préparer une base compréhensive de faits,

2- énumérer les problèmes et les opportunités,

3- spécifier les objectifs et les buts,

4- développer la stratégie,

5- établir un budget,

6- proposer un plan de suivi de la performance,

7- projeter les ventes et les profits,

Si vous souhaitez obtenir le document pour la rédaction de votre plan marketing, écrire à cher_aziz@yahoo.fr

CHERIF ABDOUL AZIZ
LE MARKETING DANS LES PME AFRICAINES
17 août 2012

Pourquoi la fonction marketing est-elle sous représentée voir inexistante dans les PME en Afrique ?


Manque d’expérience en management & marketing des managers des PME ?
Difficulté de recruter des profils marketing formés ou expérimentés ?

Tout le monde fait du marketing :

Très peu de PME ont un responsable marketing. Moins de 20 % des PME africianes disposent de cette compétence en interne ; mais, ce n’est pas pour autant que celles qui n'ont pas un responsable marketing désigné ne font pas de marketing. Toutes font du marketing !

Faire ou ne pas faire de marketing n’est pas qu’une question d’avoir ou pas en interne un responsable désigné. D’une manière ou d’une autre, toutes les entreprises sont amenées au quotidien ou de façon plus ponctuelle à considérer le marketing, parfois même sans le savoir. Il arrive en effet fréquemment dans les faits que certaines tâches marketing ne soient pas identifiées comme telles.

Par exemple, lancer un nouveau produit, choisir un bon prix, réaliser une plaquette de présentation, décider d’une nouvelle orientation pour l’entreprise, choisir un partenaire commercial … sont autant de questions et de tâches qui impliquent un esprit marketing !

Des tâches marketing … pas du marketing ?

Il subsiste un décalage entre la compréhension du marketing par les dirigeants et une définition académique de celui-ci jugée peu adaptée à la situation, aux moyens et aux objectifs des PME. Le marketing reste perçu comme un « concept flou ».

La dimension stratégique du marketing (par exemple : la Segmentation, le Ciblage, et le Positionnement, …) est généralement occultée. Le dirigeant évoque principalement le marketing en fonction des tâches concrètes qu’il induit.

Il semble que les PME ne veuillent pas « faire du marketing ». elles comprennent cependant l’utilité des « tâches » marketing précises.

Les tâches centrées vers les clients et liés à la vente et à la distribution sont les plus réalisées par les PME ; Les tâches orientées vers la connaissance et la compréhension de l’environnement de l’entreprise semblent en revanche présenter un moindre intérêt pour les PME : étude des évolutions de l’environnement, veille concurrentielle, rencontres avec les distributeurs, recherche de diversification produits ou marchés …

Une perception du marché trop restreinte

Les PME manifestent en effet un faible intérêt pour une concurrence qu’elles estiment avoir globalement assez bien identifiée, mais dont les détails de l’offre (fonctionnalités, avantages concurrentiels …) restent finalement relativement obscurs.

« Le marché » dans sa définition, reste souvent limité à une liste des clients de l’entreprise, et n’inclut pas des éléments importants tels que la BDD (qualification selon le poids et classification des clients), la concurrence, l’environnement réglementaire et technologique, les tendances d’évolution …

Le marketing est généralement associé par les dirigeants de PME aux grandes entreprises et est ainsi perçu comme inaccessible et/ou inadapté aux moyens et aux objectifs de leur entreprise.


Ainsi, l’incertitude qui caractérise les PME, renforcée par la faible prise en compte des éléments de l’environnement marché, engendre bien souvent une compréhension assez confuse des évolutions et des tendances futures.

La croissance n’est pas l’unique finalité de l’entreprise, d’autres objectifs peuvent être prioritaires pour les dirigeants de PME, comme par exemple : la rentabilité, le maintient de l’indépendance de l’entreprise, sa valorisation en vue d’une transmission ou bien la défense d’un savoir-faire de qualité, un style de management …


Dès lors, l’enjeu principal n’est pas la conquête forcenée de nouveaux clients par rapport à une concurrence parfois assez mal identifiée, mais plus souvent la défense et le développement des clients existants.

Par ailleurs, il faut prendre en compte la volonté du dirigeant qui souhaite avant tout maintenir la pérennité de son entreprise selon ses principes et ses objectifs.

Enfin, ce sont essentiellement les PME qui nourrissent un projet de développement (inscrit dans un plan formalisé ou non) et/ou celles qui font face à une situation de changement (croissance, valorisation, changement d’échelle de marché, diversification …) qui intègrent plus volontiers le marketing.

Le marketing en PME


Les PME réalisent un marketing que l’on peut caractériser selon quatre qualificatifs : Informel, ponctuel, diffus et de soutien.

Informel


Dans les PME, le marketing s’inscrit avant tout dans un état d’esprit où la dimension informelle prédomine. Les procédures et les plans d’action marketing sont rarement écrits. Le marketing est plutôt conçu et mis en œuvre dans le cadre d’échanges oraux entre les différents acteurs de l’entreprise.

Diffus

Dans les PME, il existe rarement un responsable marketing désigné, le marketing est reparti. La fonction est principalement centrée autour du dirigeant, mais les tâches sont le plus souvent diffuses au sein de l’organisation. Toute l’entreprise y participe et certaines tâches sont parfois confiées à du personnel sans expérience ou formation spécifiques en marketing.

Ponctuel


Dans les PME, les tâches marketing sont réalisées à des moments précis de la vie de l’entreprise (foires, salons, lancements de produits …), plus rarement de façon régulière et constante.

De soutien

Dans les PME, le marketing intervient principalement en support des actions commerciales pour réaliser des outils d’aide à la vente. Il soutient parfois également la Recherche et Développement en recensant les besoins du marché et en contribuant à la définition des spécifications fonctionnelles des produits …

Les PME doivent faire appel à des agences marketing. Il s’agit d’une nouvelle manière d’intégrer le marketing dans la PME par la mise à disposition de ressources marketing compétentes et expérimentées, visant à satisfaire les besoins marketing ponctuels d’une entreprise dans le cadre de son développement.

L’agence marketing intervient à deux niveaux :

- Préparation du plan d’action marketing : diagnostic stratégique, positionnement compétitif de l’entreprise, sélection d’un réseau de partenaires, test de concept ;

- Mise en œuvre du plan d’actions marketing : pack de présentation société, plan d’actions commerciales, boîte à outils du commercial, pack lancement, participation à des évènements (foires, salons), prix, veille concurrentielle, analyse compétitive de l’offre ou toute autre tâche du plan d’actions marketing.

CHERIF ABDOUL AZIZ



PRATIQUE DU MARKETING EN AFRIQUE / RENAUD DE MARICOURT
17 août 2012
Titre : Pratique du marketing en Afrique


Type de document : ouvrage

Auteurs : Renaud de Maricourt, Auteur ; Alain Ollivier (1946-....), Auteur

Editeur : Vanves [France] : EDICEF

Année de publication : 1990

Collection : Universités francophones, ISSN 0993-3948

Nombre de page : 286 p.

ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85069-533-9

Langues : Français (fre)

Catégories : [Disciplines]Économie

[Disciplines]Gestion

Mots-clés : Marketing Afrique

Résumé : «Pratique du marketing en Afrique» s'adresse d'abord aux professeurs et aux étudiants qui souhaitent approfondir leurs connaissances dans cette matière, mais aussi aux praticiens responsables de marketing ou cadres commerciaux qui souhaitent prendre du recul par rapport à leur action quotidienne et en mieux comprendre les fondements pour accroître leur efficacité.

Cet ouvrage est une première en Afrique francophone: jusqu'ici, seuls étaient disponibles des livres de marketing élaborés pour les pays du Nord, et d'une applicabilité limitée en Afrique.

« Pratique du marketing en Afrique » est un manuel de base, complet et suffisant pour passer en revue, en termes simples et familiers, les principaux aspects de la discipline.

Lien permanent : http://www.bibliotheque.auf.org/



DEFINITION DU MARKETING : ARTICLE LAROUSSE
14 oct. 2011
marketing
nom masculin
(américain marketing, commercialisation, de market, marché)
MARKETING : http://savoir-marketing.com/
14 oct. 2011
Le but de ce site est de vous présenter une vision générale du marketing.
MARKETING : LE MARCHE
14 oct. 2011
La notion de marché.
LE MARCHE EN MARKETING
14 oct. 2011

Le "marché" en Marketing : définition et composantes.

Le "marché" : ce mot ne vous est pas étranger ? Certainement pas !
Nous l'avons déjà tous utilisé. Qu'il s'agisse du "marché de l'automobile", du "marché de quartier", ... nous en connaissons plus d'un.

Et si l'on vous demandait de le définir, vous direz sans nul doute que : c'est le lieu de rencontre entre des vendeurs et des acheteurs. Normal !

Mais, dans le domaine de l'économie et du marketing, qu'entend-t-on par "marché" ? De quoi est-il composé ?

Pour comprendre la notion de "marché", il faut définir ses différentes composantes et analyser par la suite les modalités de son découpage. Ainsi, d'un point de vue économique, le "marché" peut être défini, comme étant "le lieu de rencontre, où les demandes des acheteurs s'ajustent à un certain prix avec les offres des vendeurs".

Rappelons que ce marché peut être éventuellement abstrait. L'environnement du "marché" d'une entreprise est composé de divers éléments. L'on distingue : l'"environnement culture" qui permet à l'entreprise de modifier et d'adapter son comportement aux différentes valeurs socio-économiques, l'"environnement technologique" concernant l'ensemble des découvertes scientifiques et techniques, ayant un impact sur les entreprises, l'"environnement démographique et social", qui déterminent les différentes possibilités financières qu'a une population et enfin, l'"environnement institutionnel" qui regroupe l'ensemble des lois, contraintes et règlements que les entreprises doivent prendre en compte.

Aussi, à côté de ces divers environnements, il y a bien évidemment le consommateur ou acheteur du bien ou du service concerné dont il est nécessaire de déterminer les besoins. Ainsi, parler du consommateur revient à parler du découpage du marché d'un produit, d'un service ou d'une entreprise.

Un marché est donc découpé en deux parties : d'un côté le "découpage traditionnel" qui fait ressortir les non-consommateurs absolus qui n'achèteront pas le produit ; les non-consommateurs relatifs qui ne consomment pas actuellement mais qui pourront le faire ultérieurement ainsi que les consommateurs effectifs.

De l'autre côté, le découpage du marché oppose le "marché principal" aux autres marchés que sont le "marché générique", le "marché support" et le "marché environnant".

Vous l'aurez compris, pour agir sur un marché, il faut déterminer et analyser le comportement de tous les agents qui pourraient intervenir sur celui-ci.

Contributions de Constance sur aquadesign.be
COMPORTEMENT DU CONSOMMATEUR
09 oct. 2011
Steven Paul "Steve" Jobs (24 Février 1955 – Mercredi 05 Octobre 2011) : "rest in peace Steve"
09 oct. 2011
 




 
La mort de Steve Jobs mercredi dernier a bouleversé le monde de la technologie, et bien au delà. J'avais eu également à acheter un iMac, qui était revolutionnaire à son époque, une de ses nombreuses idées de génie.

Steve Jobs, visionnaire de génie, aura porté tout au long de sa vie (même malade !), la marque Apple vers le statut qu'elle connaît actuellement.

En effet, évincé en 1985 de l'entreprise qu'il a fondée, Steve Jobs crée notamment NeXT, rachète et développe les studios d'animation Pixar, avant de revenir prendre la direction d'Apple en 1997 et d'être à l'origine dans les années 2000 du lancement et des succès planétaires, de l'iMac (1998), de l'iPod et d'iTunes (2001), de l'iPhone (2007) et de l'iPad (2010).

Jusqu'au 9 Octobre 2011, Steve Jobs est enregistré comme premier inventeur ou co-inventeur dans 342 brevets américains ou demandes de brevets liés à une gamme de technologies d'ordinateur et appareils portatifs (y compris les écrans tactiles, haut-parleurs, claviers, adaptateurs secteur, etc).

En 2011, il est considéré comme la 34e fortune américaine et la 110e fortune mondiale avec $ 7.0 billion ("Forbes 400 Richest Americans". Forbes. September 2011. http://www.forbes.com/profile/steve-jobs. Retrieved October 7, 2011.  ).

Steve Jobs qui mérite bien un biopic, le recevra dans les mois qui viennent. Sony Pictures vient en effet d'acheter les droits d'adaptation de la biographie de Steve Jobs par Walter Isaacson, rédacteur en chef du Time et directeur de CNN

Que dire de plus sur cet grand personnage http://en.wikipedia.org/wiki/Steve_Jobs, sinon "rest in peace Steve"

CHERIF ABDOUL AZIZ
FORMEZ-VOUS ET RENDEZ VOTRE ENTREPRISE PLUS COMPETITIVE
09 oct. 2011
Les dirigeants de petites structures rechignent à retourner sur les bancs de l'école. Pourtant, les formations proposées sont désormais mieux adaptées à leurs problématiques, tant sur le fond que sur la forme.

Les chefs d'entreprise seraient-ils réticents à ressortir du placard leur vieille tenue d'écolier ?
Si 91% des cadres dirigeants et des patrons de PME estiment que la formation professionnelle continue est utile, ils ne sont que 54% à se former, ne serait-ce qu'une fois par an.

A titre de comparaison, trois dirigeants de grandes entreprises sur quatre retournent, chaque année, sur les bancs de l'école. C'est ce qu'indique une enquête réalisée par l'association Ariane Compétences & Management, dont le but est de promouvoir la formation auprès des dirigeants de PME.

Me former ? Pas le temps...

Les freins ? Ils sont essentiellement d'ordre organisationnel ou psychologique. Tout d'abord, les petits patrons sont souvent débordés et n'arrivent pas à se dégager du temps pour partir en formation. «C'est la raison principale mise en avant par les chefs d'entreprise», assure Maurice Pangaud, président d'Ariane Compétences & Management.

Une I autre explication, plus sociologique cette fois, tiendrait au profil même des dirigeants de PME. Souvent autodidactes ou techniciens, ils seraient peu enclins à retourner sur les bancs de l'école, contraire ment aux populations de cadres supérieurs, plus largement diplômées. C'est en tout cas ce qu'observe Vladimir Fuzellier, en charge des formations destinées aux dirigeants chez Demos: «Beaucoup d'autodidactes estiment que leur don d'entrepreneur est inné et que le métier de patron ne s'apprend pas. Dès lors, ils ne voient pas l'intérêt de se former!»

Enfin, pour certains chefs d'entreprise, partir en formation, c'est assumer ses lacunes, ce qui pourrait ternir leur aura auprès des salariés. «Certains dirigeants demandent même que le mot «formation«n'apparaisse pas sur les devis que nous leur envoyons», sourit Vladimir Fuzellier.

Un complexe qui, fort heureusement, tend à s'estomper avec le temps.

Pour faire face aux réticences évoquées par les chefs d'entreprise, les instituts de formation se sont donc adaptés. Tout d'abord, la durée des stages est de plus en plus courte: de l'ordre d'une à deux journées, au maximum, répétées sur quelques mois si nécessaire.

Une organisation qui convient mieux au rythme de vie des dirigeants de petites structures.

En outre, les formations professionnelles tendent à être moins théoriques, et donc plus pratiques. Chez Cegos, Jean-Louis Muller, directeur et concepteur de séminaires destinés aux dirigeants, constate cette demande croissante de formations pratico-pratiques: «Ce que veulent les entrepreneurs, ce sont des recettes efficaces et des cas concrets, bref, de la vulgarisation intelligente.»

Ajouter des cordes à son arc.

Ainsi pratiquée, la formation devient un véritable accélérateur de réussite pour les entreprises. De même qu'elle élargit les compétences des salariés, elle accroît la compétitivité des PME. Les dirigeants apprennent à maîtriser de nouvelles compétences clés, telles que le management, la gestion financière, le marketing, ou la communication, qui vont leur permettre de créer de la valeur.

Droit, fiscalité, finance, gestion, marketing, organisation...

Au fil du développement de son business, le patron de PME va rencontrer de multiples problématiques, nécessitant une compétence technique qu'il n'a pas. Il va, alors, s'entourer d'experts...

Mais cela ne suffit pas toujours. La formation peut l'aider à se constituer un socle de connaissances dans tous ces domaines.

Source : Chef d'entreprise Magazine N°37 - 01/04/2009 - Julien VAN DER FEER - chefdentreprise.com
COURS DE MARKETING FONDAMENTAL
02 oct. 2011
Bienvenue dans ce module de Marketing Fondamental

Objectifs :


L'objectif de ce module est de familiariser les étudiants aux outils marketing dont disposent aujourd'hui les managers pour installer leurs offres sur les marchés. Ce cours expose les principales théories marketing, des cadres d'analyse pertinents de la position des entreprises sur leurs marchés. Chaque concept est clairement défini et analysé puis systématiquement illustré par des cas pratiques et des exemples.

Cliquez ici
MARKETING : Les « 4 D » d'un bon positionnement
02 oct. 2011

Les « 4 D » d'un bon positionnement
Un produit mal positionné, aussi excellent soit-il, risque de rester dans les rayons. Quatre règles fondamentales aident les responsables du marketing à faire les bons choix.
Lorsque l'on s'est rendu compte, dans les années 90, que les consommateurs avaient de plus en plus d'informations à traiter et moins de temps pour le faire, on a vu apparaître quantité de machines électroniques de poche prêtes à les aider dans cette tâche.

La première à sortir fut le Newton d'Apple, un bloc-notes et organiseur capable de reconnaître l'écriture et donc de mémoriser numériquement des notes manuscrites. Ses ventes furent plutôt décevantes, ce qui fut attribué davantage aux mauvaises performances de la fonction de reconnaissance d'écriture qu'à un manque d'opportunité sur le marché. Ceci ne suffit pas à décourager la concurrence, comme devaient le prouver des lancements ultérieurs. En 1994, on vit apparaître l'Envoy de Motorola, une machine qui comportait un agenda-calendrier, un carnet d'adresses, une fonction tableur et un accès à Internet. Son originalité tenait au fait qu'il pouvait envoyer des télécopies et du courrier électronique via un modem intégré sans connexion filaire. A l'instar du Newton, les ventes de l'Envoy suscitèrent une telle déconvenue qu'il fut retiré du marché.

Au moment où l'Envoy disparaissait, Robotics lança sur le marché son Palm Pilot, un organiseur de poche numérique à un prix très inférieur à celui du Newton ou de l'Envoy. Au bout d'un an, les ventes atteignaient le million d'unités, soit la moitié du marché, et le Palm Pilot pouvait se targuer d'être l'appareil le plus rapidement adopté de toute l'histoire de l'informatique.

Comment expliquer un tel succès ? Essentiellement par les positionnements respectifs des marques. Un bon positionnement affilie clairement la marque à une catégorie de produits que le consommateur identifie immédiatement, tout en la différenciant des autres produits à l'intérieur de cette même catégorie.

Mais, pour que son succès ne s'arrête pas là, la marque doit également être clairement rattachée aux objectifs de l'acheteur. Quatre règles doivent être respectées pour trouver le bon positionnement : définir clairement ce qu'est la marque ; la différencier nettement des produits similaires de la même catégorie ; développer intelligemment sa relation avec les objectifs du consommateur et défendre avec méthode son positionnement face aux réactions de la concurrence et à l'évolution des exigences des clients.

C'est ce que nous avons appelé les « 4 D » du positionnement.
Par rapport à la concurrence

Les approches traditionnelles du positionnement s'articulent autour de la définition et de la différenciation de la marque, qui déterminent la relation entre le produit et ses concurrents.

Définir la marque consiste à indiquer au consommateur les caractéristiques communes (ou points de conformité) qu'elle possède avec d'autres. La différenciation a ensuite pour objet d'identifier le point de différence qui lui permettra de s'imposer en offrant un bénéfice essentiel aux yeux du consommateur. La figure 1 ci-dessous illustre l'ensemble de ces décisions.

Pour les marques bien installées, l'appartenance à une catégorie de produits est généralement évidente et ne soulève aucun débat. Tout le monde sait que Coca-Cola est un soda et que les Kellogg's Corn Flakes sont des céréales pour le petit déjeuner. Cependant, quand on lance un nouveau produit sur le marché, on a parfois le choix entre plusieurs catégories et, donc, plusieurs bases de différenciation. Prenons l'exemple de Slice aux Etats-Unis. Il s'agit d'une boisson gazeuse qui contient du vrai jus de fruit et qui est vendue en canettes dans les distributeurs automatiques. La première solution consiste à classer Slice dans la catégorie des jus de fruit et à utiliser son mode de distribution pratique comme élément de différenciation. L'autre possibilité est de le présenter comme une boisson gazeuse et de le distinguer par son contenu (du vrai jus de fruit). Tout dépend si les chances de réussite sont plus importantes dans l'une ou l'autre catégorie.

Si l'on reprend l'exemple de Motorola, un des enjeux concernant le positionnement de l'Envoy était la définition de la catégorie dans laquelle il rivaliserait. Le fabricant avait décidé de le classer dans celle des assistants personnels numériques, mais le consommateur ne le percevait pas comme tel et tentait de le rattacher à celle des ordinateurs portables, des organiseurs, des téléphones mobiles ou des pagers. L'Envoy ne présentait pas suffisamment de points de conformité pour être assimilé à l'une de ces catégories. Le consommateur ne voyait donc pas très bien ce que cet appareil pourrait remplacer dans sa serviette et n'adhérait donc pas à la proposition de dépenser plus de 5.000 francs et de souscrire à un abonnement à un réseau radiotéléphonique pour le seul plaisir de transmettre des télécopies et des messages électroniques sans fil. A partir du moment où le produit n'est pas clairement rattaché à une catégorie déterminée, la différenciation n'a plus de sens.

En revanche, le positionnement du Palm Pilot dans la catégorie des organiseurs numériques était crédible parce qu'il offrait le bénéfice lié à cette catégorie, qui est l'organisation pratique des données personnelles. Parallèlement, il se différenciait des autres organiseurs par sa facilité d'emploi, et notamment par la possibilité pour l'utilisateur de synchroniser les données avec son PC ou son portable. Le Palm Pilot ne se contentait pas de remplacer une secrétaire ou un organiseur traditionnels, il avait d'autres avantages.

Pour définir une marque dans une catégorie de produits, on se fonde généralement sur la similarité des caractéristiques physiques. Cette ressemblance n'est pourtant pas indispensable. Une marque peut très bien appartenir à une catégorie de produits en l'absence d'attributs physiques comparables, sous réserve qu'elle offre le bénéfice principal associé à cette catégorie. Si le Palm Pilot est perçu comme une alternative à une secrétaire, c'est parce qu'il organise le travail comme le ferait une bonne secrétaire.

Une fois que la marque a défini sa position, elle doit se différencier des autres, c'est-à-dire tenter de dominer ses concurrents sur un bénéfice important pour le consommateur. La marque la plus forte est celle qui affiche une différence sur l'avantage primordial qui incite le consommateur à acheter dans cette catégorie de produits. En règle générale, le numéro un dans une catégorie de produits revendique ce bénéfice premier - qu'il offre ou non un avantage -, et défend sa position par d'importants investissements publicitaires, une distribution intensive ou le recours à d'autres supports de marketing mix. Le Palm Pilot, par exemple, affirme sa supériorité dans l'organisation de l'information et la lessive Tide revendique un plus grand pouvoir de lavage.

Généralement, les marques moins connues voulant s'implanter dans une catégorie de produits revendiquent le bénéfice inhérent à cette catégorie pour indiquer leur appartenance et choisissent un attribut secondaire comme élément différenciateur. Ainsi, IBM met en exergue sa technologie avancée comme point de différence tandis que le fabricant de portables WinBook se targue d'offrir une technologie de pointe à un prix plus bas.

Quelle que soit la base de la différenciation, la marque doit aussi donner au consommateur une bonne raison de croire qu'elle possède effectivement ce bénéfice. Ingersoll se positionne comme un fabricant de meuleuses de qualité supérieure parce que c'est la seule grande société dans le secteur des outils coupants à se spécialiser dans ce type de produit. De la même manière, le jus d'orange Tropicana affirme avoir un meilleur goût parce qu'il n'utilise que des oranges soigneusement sélectionnées.

Dans certains cas, le fondement de la différenciation peut être l'image (qui utilise la marque et à quelle occasion). Les parfums, par exemple, se fondent sur l'image pour formuler leur promesse.

Le positionnement par rapport à la concurrence explicite donc ce à quoi la marque peut se comparer et pourquoi elle est préférable à d'autres. Néanmoins, la marque se suffit rarement à elle-même pour se maintenir. Seul un positionnement plus approfondi, établissant des relations avec les valeurs et les objectifs du consommateur, lui permettra d'avoir un avantage concurrentiel durable.

Par rapport aux objectifs

Un positionnement par rapport aux objectifs consiste à développer et à approfondir le positionnement concurrentiel. Son cadre de référence n'est plus la catégorie de produits, mais les valeurs et les objectifs du consommateur.

En effet, en allant plus loin, on peut utiliser un bénéfice induit par l'attribut de la marque comme fondement pour le positionnement suivant. Ce bénéfice implicite permet de suggérer au consommateur de nouveaux avantages plus abstraits. En réalité, chacune des déductions ainsi effectuées peut se comparer aux barreaux d'une échelle (« ladder » en anglais), qui devient plus abstraite et plus générale au fur et à mesure que l'on monte. Ceci explique que les Américains aient baptisé « laddering » cette technique de progression des objectifs. Au stade ultime, le laddering aboutit à un bénéfice très abstrait qui représente l'essence de la marque et correspond aux objectifs du consommateur.

La publicité de McDonald's illustre parfaitement cette évolution du positionnement. McDonald's est parti de la propreté de ses restaurants et du bon goût de ses produits pour progresser vers le positionnement de lieu idéal pour les enfants, puis de lieu reconnu et apprécié par tous. Ces positionnements sont le fondement d'une des publicités de McDonald's aux Etats-Unis, axée sur l'essence même de la marque. Dans le film, un jeune homme a un rendez-vous sur le pas de sa porte avec une inconnue. Il essaie immédiatement de la séduire en lui expliquant qui il est et qui il n'est pas. Il la prévient qu'il n'est ni docteur, ni avocat, ni banquier, ni expert-comptable, mais vendeur dans un magasin de disques. Il lui annonce qu'il ne l'invitera certainement pas à dîner dans une brasserie, un drugstore ou une trattoria, qu'il ne l'emmènera ni au théâtre, ni à l'opéra et qu'ils n'iront ni écouter une symphonie, ni voir un ballet. En revanche, il lui propose un cinéma et un McDonald's. Les points de complémentarité entre la marque et les préoccupations du jeune homme, sa voiture et ses distractions favorites montrent que McDonald's est par essence une marque sans prétention destinée à tout un chacun. On retrouve probablement là le point de parité entre la marque et l'objectif du consommateur qui est d'apprécier un repas sans prétention. Ce positionnement est schématisé dans la figure 2.

Plusieurs aspects du positionnement bâti sur les objectifs méritent d'être clarifiés. En effet, une marque peut très bien revendiquer un bénéfice abstrait résumant toute son essence sans avoir parcouru tous les échelons du laddering. Néanmoins, cette technique a l'intérêt de renforcer la crédibilité des promesses abstraites de la marque. De la même manière, il n'est pas absolument nécessaire que la marque soit associée à d'autres objets incarnant son essence, bien que cette approche soit hautement représentative de la façon dont les consommateurs la perçoivent. On peut très bien suggérer l'essence de la marque au consommateur en lui présentant plusieurs de ses facettes pour qu'il comprenne parfaitement sa nature.

Enfin, il arrive que des sociétés emploient un positionnement fondé sur l'essence de la catégorie de produits plutôt que sur celle de la marque. Cette approche est basée sur la connaissance des objectifs du consommateur dans sa façon d'utiliser la catégorie de produits en général plutôt qu'une marque particulière.

Regardez la publicité de Lee qui montre toutes les contorsions qu'il faut faire pour entrer dans un jean. Même les femmes les plus minces se battent pour enfiler le leur, sans oublier ce jeune homme svelte qui chante et dont la voix monte de plusieurs octaves après qu'il a réussi à remonter sa fermeture Eclair. Ces images ne montrent nullement que les jeans Lee contribuent à résoudre le problème des consommateurs. Néanmoins, la description amusante de l'expérience vécue avec les jeans en général et la connaissance implicite des objectifs des consommateurs renforcent leur préférence pour la marque. Toutes choses étant égales par ailleurs, les consommateurs en déduisent que, si une marque comprend aussi bien leurs problèmes et leurs objectifs, elle ne peut que leur offrir une solution séduisante.

Plus les sociétés adhèrent à ce type de positionnement, plus les études de marché sur la façon dont les produits s'intègrent à notre vie quotidienne foisonnent. Dans certains cas, elles consistent à procéder à des « fouilles archéologiques » dans les placards de la ménagère et, dans d'autres, à s'assimiler à « la tribu » par l'observation de ses rites de consommation. Ces études ont donné des résultats intéressants. Ainsi, Kraft a découvert que si les femmes débordées trouvent encore du temps pour cuisiner pour leurs amis et leur famille aujourd'hui, ce n'est plus pour les mêmes raisons. Elles songent moins à prouver aux autres leurs talents de parfaites maîtresses de maison qu'à se divertir. Le positionnement du fromage Velveeta n'est donc plus de faire plaisir aux autres, mais de s'amuser en recevant les autres.

Une parfaite connaissance des objectifs du consommateur permet aussi d'inverser le processus de laddering. Au lieu de partir des attributs de la marque et de progresser vers les objectifs du consommateur, on peut démarrer des valeurs du consommateur et redescendre vers les bénéfices de la marque.

Intégrer les perspectives de positionnement

Les concepts sous-jacents au positionnement fondé sur la concurrence ou les objectifs se résument, pour une marque qui s'adresse à un segment particulier du marché, à une proposition en termes de valeur (V) exprimée comme suit :

(FORMULE)

Cette proposition est une définition plus conceptuelle que mathématique et sert surtout d'outil de comparaison. Elle permet aux professionnels du marketing, par exemple, d'examiner les valeurs respectives des marques qui s'adressent à une cible similaire ou d'analyser la valeur d'une marque dans tous les segments, soit à un moment précis, soit dans la durée.

La différenciation en termes de bénéfices est illustrée par la performance moyenne obtenue sur un critère particulier et la variance par rapport à cette moyenne.

L'Infiniti J30 de Nissan, par exemple, met en exergue le bénéfice de la qualité, d'une part, parce qu'il obtient de meilleurs scores en termes de style, de confort et de performance du moteur dans sa catégorie et, d'autre part, parce que les perceptions du consommateur vis-à-vis du J30 sont invariantes.

Le numérateur de cette proposition tient également compte des bénéfices psychologiques. Ils résultent du développement de la relation entre la marque et un objectif important aux yeux du consommateur. En matière d'automobile, il peut s'agir du sentiment de sécurité, de prestige, etc.

Par conséquent, le numérateur intègre à la fois les bénéfices fonctionnels et les objectifs plus abstraits servis par la marque.

Le dénominateur, lui, reflète les coûts d'acquisition des bénéfices définis au numérateur. Ceux-ci englobent le prix d'achat et le temps lié à l'acquisition et à l'utilisation d'un produit.

Depuis une dizaine d'années, le temps de travail augmente au détriment de celui réservé aux loisirs. Il en résulte une pénurie de temps : les consommateurs sentent qu'ils n'arrivent plus à assumer tout ce qu'ils doivent faire. Pour répondre à cette situation, ils adoptent dans la majorité des cas un comportement « multitâche ». Ils téléphonent ou mangent en conduisant et font de l'exercice physique en allant au bureau. Cet état de fait permet aux marques de répondre à des objectifs plus larges que ceux strictement liés à la nature de leur catégorie.

Prenons l'exemple de Virgin Atlantic Airways. Cette compagnie aérienne satisfait les demandes fondamentales des hommes d'affaires qui voyagent. Elle les conduit autour du monde en respectant les horaires prévus, dans des conditions confortables et à des prix intéressants. Ce qui fait sa particularité, c'est d'avoir su transformer les vols en moments de distraction. Les passagers peuvent en effet se rencontrer dans un salon à bord de l'appareil et profiter de toute une gamme de services tels que les massages. Virgin Atlantic Airways satisfait ainsi simultanément plusieurs de leurs attentes. *
ALICE M. TYBOUT ET BRIAN STERNTHAL
Source : lesechos.fr
MARKETING : LA GUERRE DES COLAS
02 oct. 2011
Documentaire : "Coca / Pepsi, une guerre de 100 ans !"

Afin de comprendre le rôle du marketing sur les marchés, nous vous proposons de vous pencher sur le cas du marché des sodas et sur la lutte que se livrent les deux géants Coca et Pepsi au travers du documentaire que nous vous proposons.

Vous verrez qu'une démarche de l'offre, orientée produit et prix, n'est pas toujours la clé du succès.

C'est ce que Coca comprit dans les années 50 en subissant le succès de la « génération Pepsi ».

Visionez le documentaire ici

Source : aunege.org
Dirigeants de PME : formez-vous aux techniques marketing !
30 sept. 2011
Les dirigeants de petites entreprises ne sont pas toujours formés aux techniques du marketing. Découvrez à travers cette sélection trois formations pour entrepreneurs.
Il est possible de se former à frais réduits aux techniques marketing.

Fixer vos prix de vente

Vos objectifs :

- Connaître les différentes approches de fixation de vos prix de vente
- Savoir calculer vos prix de revient
- Comprendre les risques commerciaux liés à une mauvaise fixation de vos prix de vente

Votre formation :

1. Vos coûts de revient : achat et revente, vente d'heures de service, achat et transformation de matières premières, prestation complexe
2. Votre marge : marge commerciale, valeur ajoutée
3. La fixation de vos prix de vente

Le lancement d'un nouveau produit

Précautions à prendre avant de lancer un nouveau produit

Commercialisation d'un nouveau produit
Étude de marché
Protection nationale et internationale de
Coût de revient et prix de vente estimé
Comparaison avec la concurrence
Le financement
Business plan

L'étude de marché

Cerner le potentiel d'un secteur d'activité économique déterminé ou d'une activité économique déterminée

- Réalisation de dossier d'urbanisme commercial
- 2 aspects primordiaux
- A quel moment et pourquoi ?
- Les outils
- Mission du cabinet

Auteur : Jean Paul DEBEURET   
Lundi, 30 Août 2010, portail-des-pme.fr 
Global Entrepreneurship Week, GEW-2011 : 100 countries. 40,000 events. 10 million people. A global movement unleashing new ideas.
26 sept. 2011

La Guinée (Conakry) organise pour la première fois sa semaine mondiale de l'entreprenariat, dénommée GEW-2011: « Entreprenariat jeune et emplois en Guinée ».
A l'initiative en Guinée, du Centre Nouveau des Œuvres Universitaires (CENOU), en partenariat avec GEW de la Fondation KAUFFMAN (The Foundation of Entrepreneurship / http://www.unleashingideas.org/), la Global Entrepreneurship Week GEW-2011 (Semaine Mondiale de l'Entreprenariat) qui se tiendra au siège du CENOU à Conakry, aura pour thème : « Entreprenariat jeune et emplois en Guinée ».

La suite sur : Global Entrepreneurship Guinée 2011
COURS DE MARKETING
23 sept. 2011
Définition :

Le marketing est la "conquête méthodique et permanente d'un marché rentable,impliquant la conception et la commercialisation d'un produit ou d'un service conforme aux attentes des consommateurs visés".

Ce cours est disponible ici, cliquez.
Un cours très intéressant de marketing en PDF
23 sept. 2011
Ce cours de marketing en français a été réalisé par Martine de Lavergne, professeur à l’Université de Provence Aix-Marseille. Il est très bien réalisé et se base sur des livres reconnus de tous. Cliquez ici pour le consulter gratuitement en format PDF.
Bonne lecture !
PAC : VOTRE PLAN D'ACTION COMMERCIAL EN 10 POINTS
23 sept. 2011
Comment créer un Plan d’Actions Commerciales (PAC) pour vendre plus ?

"Existe-t-il une méthode, un plan, pour vendre plus de produits et services avec son entreprise ? OUI. Grâce au plan d'actions commerciales vous pouvez augmenter votre chiffre d'affaires. Voici une méthode en 10 points pour créer un plan d'actions de vente."

Si vous souhaitez trouver des clients, et plus globalement, vendre plus, ce dossier commercial est fait pour vous !

Il est possible en effet de prévoir méthodiquement comment on va augmenter son chiffre d’affaires, comment on va vendre plus.

C’est possible grâce au PAC, ou Plan d’Actions Commerciales.

Je vous propose dans ce dossier de savoir comment concevoir un plan d’action commerciale, en 10 étapes.

Qu’est-ce que le plan d’actions commerciales ?

Le plan d’action commerciale, c’est la feuille de route qui va vous aider à formaliser et à atteindre vos objectifs de ventes annuelles.

Pour vous aider, voici les 10 étapes à suivre pour rédiger votre PAC en fonction de votre secteur d’activité :

Du très long terme au très court terme, je vous propose une méthode en 10 points pour développer vos ventes et votre chiffre d’affaires.

Son principe est de noter de façon très simple et très concrète : Pourquoi, où, quand, comment, avec qui réaliser des actions dédiées à augmenter vos ventes.

Il suffit de le concevoir et de l’appliquer pour réussir.

C’est parti !

1- Vision de l’entreprise dans 5 ans

Cette étape, rédigée par le créateur ou le dirigeant, est notamment utile dans le cadre d’une entreprise de plusieurs personnes (associés, salariés, banquiers, etc) :

Pour que vos actions aient un sens, vous devez savoir quel est votre but.

+ S’agit-il d’être leader dans votre secteur ?
+ De consolider votre entreprise suite à une politique d’expansion ?
+ De conquérir un nouveau marché ? + D’augmenter votre salaire ?

En voyant loin, on est mieux à même de légitimer, de donner un sens à son plan d’actions.

2- Les objectifs stratégiques poursuivis

Ces objectifs doivent être concrets et s’inscrire dans une période déterminée.

+ Quels sont vos objectifs pour l’année ?
+ Renouveler votre gamme de produits ou de services, ouvrir de nouveaux points de vente, amorcer votre diversification sur tel ou tel secteur ?

3- Les objectifs quantitatifs à atteindre

Après la stratégie, vous devez déterminer les objectifs quantitatifs.

Là encore, ils doivent être facilement mesurables.

Par exemple, pour améliorer votre salaire de 10%, vous prévoyez d’augmenter par étapes votre chiffre d’affaires, d’au moins 17% sous 24 mois.

Avec des objectifs précis, qui ont un sens et axés dans le temps, c’est plus facile à réaliser.

4- Détailler les actions à entreprendre

Pour chaque action (étude de marché, marketing direct, fidélisation de la clientèle…), notez les phases et les étapes qui vont vous permettre d’atteindre votre objectif global.

A chaque fois, prévoyez une date de début et de fin.

Par exemple, si votre chiffre d’affaires est très dépendant de la prospection par téléphone, vous pourriez prévoir ces actions :

+ Prévoir 2 fois 30 minutes de phoning dans votre journée, une première tranche pour prospecter de nouveaux clients, et une seconde tranche pour assurer le suivi de votre action de prospection et faire les relances.
+ Prévoir 5 heures “volantes” au cours de la semaine pour préparer toute la logistique nécessaire (trouver des prospects, trouver leurs numéros de téléphone, faire du réseautage pour obtenir des contacts, etc.)

Il est important de bien détailler chaque action dans ce plan, afin que vous n’ayez aucune question à vous poser ni aucune réflexion à avoir au moment de l’exécution du plan d’actions commerciales.

5- Lister les différents intervenants dans la mise en œuvre du PAC

Qui fait quoi ? Préciser le rôle de chacun va améliorer votre productivité et surtout éviter des conflits relationnels en cours d’année.

Même si vous êtes dans le cadre d’une entreprise personnelle, cette étape est intéressante car, dès le début de l’année, vous pourrez par exemple décider de sous-traiter certains aspects de votre activité.

6- Enumérer les moyens nécessaires à la réalisation des objectifs : outils, méthodes, budget alloué pour chaque action
Déterminer votre budget et
les outils utilisés va valider la fiabilité de votre projet.
Par exemple, quel va être votre budget publicitaire ? En fonction de cette réponse, vous allez lister les moyens d’action que vous pouvez mettre en œuvre : flyers, encarts presse, sponsoring …

Si on en revient à notre exemple du phoning, il sera peut-être nécessaire d’énumérer parmi les moyens l’utilisation d’un opérateur téléphonique alternatif afin de payer moins cher les communications.

7- Préciser les cibles éventuelles

Qui est concerné par ces actions ? (prospects, nouveaux clients, clients fidèles…)Et surtout, comment allez-vous les trouver ?

C’est précisément dans cette étape que vous allez déterminer exactement qui vous allez chercher, et comment vous allez trouver ces personnes.

En rapport avec le point 4), l’objectif est que vous n’ayez aucune question à vous poser au moment de l’exécution du plan.

8- Prévoir des critères de performance et Suivre l’exécution du plan

Il s’agit tout d’abord de savoir comment déterminer si vos actions marchent ou pas ? Cela passe par des critères quantitatifs et qualitatifs.

Avec notre exemple de la prospection téléphonique :

- Nombre de nouveaux prospects contactés
- Résultat prospect par prospect
- Nombre de suivis (follow ups) recontactés
- Résultat de ces follow ups

Il s’agit également de définir un calendrier de suivi intermédiaire de réalisation des actions : son but est de savoir où vous en êtes pour pouvoir rectifier vos plans si nécessaire.

Le monde est changeant et ces changements peuvent être violents lorsqu’on est chef d’une petite entreprise. Ce suivi des plans permet d’adapter, de rectifier, et d’orienter le plan en fonction des aléas.

Une bonne façon de faire est de prévoir un suivi bref tous les jours (qu’est-ce que j’ai fait ? pour quels résultats ?), un court reporting hebdomadaire et un point plus complet tous les mois.

9- Évaluation et analyse des résultats

Quel est le résultat des actions menées ?

Pour chacune d’entre elles, le bilan est-il positif ou négatif ?

Cette évaluation peut être réalisée dans le cadre du point mensuel prévu en étape 8 de votre PAC.

C’est le moment idéal pour décider de la poursuite tel quel du plan d’actions co, ou de son orientation, par rapport à toutes les autres données de votre entreprise.

10- La suite du PAC

En fonction des réponses précédentes, refaites un PAC en mettant en place les actions correctives qui s’imposent.

Le PAC, une méthode rationnelle pour réussir

L’intérêt du PAC est que c’est un plan d’actions très concret, qui (selon vos critères) permettra de façon sûre d’atteindre vos objectifs.

Un bon PAC est un plan d’actions qui par définition ne demande aucune réflexion, aucune perte de temps. Il suffit de l’exécuter méthodiquement pour arriver à l’objectif dans le temps imparti.

Donc, si vous voulez vendre plus, augmenter votre chiffre d’affaires, c’est finalement assez simple : il suffit de faire un plan d’actions, et de le suivre.

Bonne chance.

Publié par Gautier Girard
PLAN D'ACTION COMMERCIAL : UNE METHODE EN 10 POINTS POUR LE CREER
23 sept. 2011
Comment créer un Plan d’Actions Commerciales (PAC) pour vendre plus ?






"Existe-t-il une méthode, un plan, pour vendre plus de produits et services avec son entreprise ? OUI. Grâce au plan d'actions commerciales vous pouvez augmenter votre chiffre d'affaires. Voici une méthode en 10 points pour créer un plan d'actions de vente."




Il est possible en effet de prévoir méthodiquement comment on va augmenter son , comment on va .
C’est possible grâce au , ou Plan d’.
Je vous propose dans ce dossier de savoir comment concevoir un plan d’, en 10 étapes.
MANAGEMENT : MOTIVATION DES COLLABORATEURS
23 sept. 2011
Je motive, tu motives, il motive ...

Beaucoup trop de managers sont de vrais "fabricants de démotivation" pour leurs collaborateurs. ... Et s'ils revoyaient leur façon de motiver ?

Lire la suite ici, super l'article !
MARKETING : MARKETING DE COMBAT
22 sept. 2011
Les 7 piliers du Marketing de combat

Définition du Marketing de combat

Le Marketing de combat est l'art de concevoir et de promouvoir des idées, des produits et/ou des services profitables pour l'entreprise ou l'organisation, qu'une part définie de la clientèle ou du public convoités, va préférer aux idées, produits et/ou services concurrents, tout en gênant ses adversaires dans l'utilisation de leurs moyens d'action ou dans leur manière de combattre afin de faire pencher, à son profit, la balance des forces engagées, quel que soit le rapport de force initial.

Théâtre d'opérations : le théâtre d'opérations du marketing, c'est l'esprit des clientèles ou des publics. Les offres sont positionnées et s'affrontent dans leurs univers de préférences.

Cibles : les cibles ne sont pas les clientèles ou les publics mais sont les images des offres adverses. C'est à leur détriment que nous maintenons ou augmentons notre "part de préférences".

Projets : la préférence d'un type de clientèle ou de public pour une offre marquée est motivée par ses projets et non par ses besoins. Elle est conditionnée par ses instincts, ses connaissances et ses habitudes.

Manœuvres : les combats marketing se gagnent par les mouvements psychologiques des images des offres (marquées ou signées) et non par le simple renforcement de leurs positionnements. La conception des manœuvres de positionnement précède donc la conception des offres.

Persuasion : les manœuvres de positionnement visent à modifier le point de vue de certaines clientèles ou publics sur l’offre promue. Elles sont réalisées par les campagnes de persuasion.

Stratégie : gagner, c'est aussi faire perdre ses adversaires. C'est la fonction de la tactique et de la stratégie.

Simulation : le futur n’est pas dans les chiffres. Il est dans la tête de ceux qui le font. Les projets des clientèles ou des publics et ceux des adversaires jouent un rôle plus important que les conjonctures économiques. Le futur ne se déduit pas, il se simule.

(Cf : Marketing de combat, le site officiel : http://www.marketingdecombat.com)

Source : wikipedia.org